Les Archives

1922 21 juil.
Soir. Billard. Été au C.A.S. jusqu'à 10h. Rentré en tram. Télescope. Découvert seul 4 nébuleuses. Écrit et lu - au lit à 11h.
1922 22 juil.
Beau chaud. Après-midi et soir. Orages locaux et courts. Baromètre 720. Travaux domestiques. Levé à 6h1/2. Déjeuné. Reliure. Fait les dos à une quinzaine de livres. Thé. Visite de Madame Cuénod. Après-midi. Café - Billard. Reliure. Visite de Madame Mercanton et à Madame Matthey et Mademoiselle Jougla. Reliure, mais souvent interrompu. Bien avancé quand-même; fait de l'amidon. Soir. Billard. Reliure. Échecs. Perrier vient passer la soirée. Causé avec lui et Madeleine jusqu'à 10h1/2. Écrit et lu - au lit.
1922 23 juil.
Couvert et 1 peu de pluie. Baromètre 719. Travaux domestiques. Levé à 7h1/2. Rasé. Déjeuné. Reliure tout le matin. Fini 1 duc des Abruzzes, très bien, et tous mes Rambert. Thé. Pas de visites, sauf à Monsieur Piot, l'après-midi. Après-midi. Café - Billard. Reliure. Dumas vient prendre le thé et jouer aux échecs. Un peu de reliure avec lui; je lui [débotte?] et coud un de ses bouquins. Soir. Échecs; reliures. Dumas part à 9h-1/4. Écrit. Lu. Astronomie. Lu au lit à 10h.
1922 24 juil.
Couvert. Orages. Matin et après-midi. Baromètre 720. Travaux domestiques. Levé à 7h1/4. Déjeuné. Reliure. Fini tout ce que j'ai en chantier. Thé. Reliure. Visite des malades. Après-midi. Café - Billard. Béraneck vient travailler pour lui. Été à pied, puis en camion à Romanel, chez le Juge de Paix pour la fille de cuisine qui s'est sauvée. Il lui donne tort. Rentré à pied à 4h1/2. Reliure. Recommencé une grande série de Tour du Monde que Mademoiselle Félicie m'avait cousus. Soir. Billard. Échecs. Écrit et comptes. Lu - au lit à 9h1/2.
1922 25 juil.
Couvert. Après-midi. Plus ou moins beau. Soir. Très beau, bise. Baromètre 726. Travaux domestiques. Levé à 7h1/2. Déjeuné. Reliure tout le matin. Les petites s'y mettent bien, surtout Ginette. Thé. Correspondance. Après-midi. Café - Billard. Reliure. On recommence une nouvelle série de 25 volumes et 4 de Payot. Fini ceux de Monsieur Palalrd et bien avancé à mes der-